Une dizaine de membres du SPUC LASTERKA a participé à l'URBAN TRAIL DE BAYONNE. Cette année, le COB pour cette 8ème édition, a eu la météo la plus clémente depuis sa création! 500 coureurs ont pris le départ des 11km et 250m de D+.

• BOURGOIN Mixel  s'est classé 63ème en 00:56:28
• SALLABERRY Hugo 69ème en 00:57:02
• BANNIER Isabelle 157ème en  01:05:17
• MENDES William 190ème en 01:06:55
• ESTAYNOU Olivier 217ème en 01:08:56
• MENDILUCE Kinan 250ème en 01:12:30
• MARILUZ Marina et FERDINAND LAURENCENA Anne 286ème aex-aequo en 01:16:17
• FAURE-BRAC Bastien 291ème en 1:16:30
• LISSARDY Sandra 347ème en 01:21:44
• ANDRE Jean-Marc 428ème en 01:30:40

Anne : "C'était Halloween, et quel meilleur moyen de le célébrer qu’en se lançant dans une course d’horreur ? Armés de notre courage (et de notre bonne humeur), Marina Mariluz, ma binôme fidèle, et moi avons pris le départ de l’Urban Trail de Bayonne, prêtes à en découdre avec un parcours où boue et frissons étaient au rendez-vous.

Dès les premiers kilomètres, on se rend vite compte que cette édition ne rigole pas ! Le chemin est tellement glissant qu’on se croirait sur une patinoire, mais en version boueuse. Heureusement, les organisateurs avaient tout prévu : des cordes ( par endroit)  ! Idéal pour remonter les pentes glissantes tout en essayant d’éviter un remake de L’Exorciste avec un atterrissage acrobatique dans la gadoue.

Et pour pimenter le tout, des bénévoles un peu trop enthousiastes surgissent de nulle part, tronçonneuse à la main (heureusement, sans chaîne… enfin, on espère !), histoire de tester notre cardio et notre instinct de survie. Sans oublier les détails charmants comme les têtes de poupées suspendues dans les arbres, et ce ketchup projeté ici et là pour un effet “gore” réussi. Si le cœur n’était pas déjà à 150 pulsations, il montait bien en flèche à chaque apparition !

Malgré l’ambiance film d’horreur, l’ambiance était à la fête et tout le monde avait le sourire, ou un cri coincé dans la gorge

Après 1h16 d’efforts, de glissades et de rigolades, Marina et moi avons franchi la ligne d’arrivée, ravies de cette expérience unique et totalement décalée. Vivement l’année prochaine, et qui sait, peut-être avec un costume effrayant !"